Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les voluptés du temps
5 novembre 2018

D comme...Dates!

Je ne suis certainement pas la seule à avoir remarqué, bon nombre de fois, des dates qui coïncident entre différentes personnes d'une même famille, ainsi que des faits qui se répètent. 

En cherchant le thème d'aujourd'hui, "mais que vais-je trouver commençant par la lettre D", je viens de "croiser" des ancêtres de mes enfants. En voyant leur date de décès si proche, il était évident pour moi qu'une épidémie voguait alors dans l'air de Saron-sur-Aube (Marne). Mais après tout, ce n'est peut-être pas aussi sûr que cela!

Mais commençons par le début.

Nicolas DARRAS est né à Sarron-sur-Aube le 27 juillet 1792.

Archive départementale 04-11-2018 18-52-56

Son épouse, Adélaïde CHANTRIAU est née le 1er juillet 1793 à Pleurs (marne).

Archive départementale 05-11-2018 11-07-31

Ils se sont mariés le 26 juin 1816 à Saron-sur-Aube et ont eu 7 enfants, garçons et filles en alternance. Garçon, fille, garçon, fille... De 1818 à 1833. 

Archive départementale 04-11-2018 18-32-16

Archive départementale 04-11-2018 18-32-37

Nicolas est né de papa inconnu, tout comme sa petite-fille Julie, la fille d'Élise, surnommée Julia. Celle-ci vivra un court temps chez ses grands-parents. Elle aura plus de chances que sa petite soeur Alexandrine, elle sera reconnue par Eugène CAURO en 1868 lors de son mariage avec Élise, elle a alors 12 ans.

DARRAS

Ce qui m'avait donc fait penser à une épidémie, c'est que Nicolas et son épouse sont décédés à 11 jours d'écart... ça se passe en 1883. Ils ont 90 ans, 91 en juillet, mais décèdent le 20 et le 31 mars. Au décès de son mari, Adélaïde part vivre chez sa fille et son gendre, autant dire que les meubles n'ont pas eu le temps de se serrer!

Archive départementale 04-11-2018 19-52-21

Archive départementale 04-11-2018 19-47-31

 

Publicité
Publicité
Commentaires
S
Bonjour,<br /> <br /> je me suis posée la même question pour un couple d'ancêtres, dont je parlerai à la lettre G (pour conclure que non).
Répondre
Les voluptés du temps
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 1 098
Newsletter
Publicité